Avec le retour des froids (baisse des températures et du moral), la musique et l’apéro permettaient de ne pas se sentir seul, de parler des attentats de Paris et d’apporter un peu de chaleur de poésie et de convivialité.
La violence empêche de penser. la musique aidait nos cerveaux triste et révolté à se remettre en marche.
Un air de musique que l’on connait et nous rappel certains souvenirs, l’envie de le fredonner pour soi redonne parfois l’infime envie de la partager avec d’autres, de revoir certains amis chers, de boire ensemble… de maintenir ou refaire des liens, des amitiés, des discussions, des engueulades, des joies, des rencontres et finalement du sens à nos vies.
Quelque chose sans prétention plutôt que le vide et le renoncement. Et de nouveaux projets en cours…